Human Flow
I'm evolution of a beast
I've left my hair behind
And I'm the roots, and I'm the Leaves
I love, I breed, I cry
I don't know where I go
I try to find it out
I'm Human being, and I am so lost
I feel alone, I'm scare to die
I 'm building towers to the sky
Careers and countries grow
But my brother sleeps on the ground
I don't know why it's so
Ô my anger, are you too shy,
To scream it all, out through the show ?
Cause I don't know, or I denie
I'm part of scene, I'm part of flow...
Here we go through nights
And Shadows blind me
Call quick now,
This mystery out of time
Cause game is over,
Human flow...
And Humans grow...
So slow...
I sat on side of the road
We need to breath sometimes
If there's some charge I can Unload
Then I'm happy to lie
I'm scare that increase we follow
Are just leading to other nights
Through other nights...
To other black holes out the flow...
Here we go on through nights
And Shadows catch me
Call quick now, this mystery out of time
Cause game is over...
Ô « Something » makes me softer
Out of pain and screams, heal me...
How can we make it better
Safe times for you and me ?
«Kill the monster or tame it now
Will heal the wound
You're not a saviour, not a safty guardian, just,
It's time to set off.... »
From here if we still breath...
Let's light the candle...
Cause I don't know, or I denie
I'am part of scene i'm part of show...
Here we grow through night
But stars shine over me
I'll be now, this mistery out times...
Cause pain is Over...
And «Something» makes me softer
Out of pain and screams... heal me...
How can we make it better
Safe times for you and me ?
Human Flow
Traduction française
Je suis l'évolution d'une "bête"
J'ai laissé mon pelage derrière moi
Je suis à la fois les racines et les feuilles,
J'aime, je me reproduis, je pleure...
Je ne sais pas où je vais
Et j'essaye de le savoir
Je suis un être humain et je suis si perdu
Je me sens seul, et j'ai peur de la mort
Je bâtis des tours jusqu'au ciel
Carrières et pays se développent
Mais mon frère dort toujours à même le sol
Et je ne sais pas pourquoi c'est ainsi
Ô ma colère, es-tu trop timide ?
Pour dénoncer et crier tout cela à travers ce grand «show»?
Car je ne sais pas, ou alors je renie,
Que je fais partie de la scène, que je fais partie de ce «flux»
Ici, nous avançons à travers la nuit
Et l'obscurité m'aveugle
Appelle vite, maintenant,
Ce mystère en dehors du temps
Car le jeu est terminé,
Ce Flux humain...
Et les humains grandissent...
Tellement lentement...
Je me suis assis sur le côté de la route
Nous avons besoin de nous arrêter, respirer parfois...
Et s'il y a des poids dont je peux me décharger
Alors je serais heureux de les déposer
J'ai peur que cette « croissance » démesurée que nous poursuivons
Nous mène juste vers d'autres nuits plus sombres,
Á travers d'autres nuits...
Vers d'autres trous noirs en dehors du courant de la vie
Ici, nous avançons encore à travers la nuit
Et l'obscurité me rattrape
Appelle vite et maintenant, ce mystère en dehors du temps
Et si le jeu est terminé...
Faites que «quelque chose» me rende plus doux,
Me sorte de la souffrance et des cris, et me guérisse
Comment pouvons nous faire mieux,
Pour rendre cette ère, plus sûre pour toi et moi ?
«Tue le monstre (en toi), ou dompte le,
Cela guérira ta blessure...
Je ne suis pas un sauveur, ni un gardien de ta sécurité, juste
Il est temps de quitter cette route...»
Si nous pouvons encore respirer...
Allumons juste une bougie...
Car je ne sais pas, ou alors je renie
Que je fais partie de la scène, je fais partie du Flux
Ici nous grandissons à travers la nuit
Mais les étoiles brillent au dessus de moi
Je deviendrai maintenant ce « mystère » hors du temps
Car la douleur est terminée...
Et faites que Quelque chose me rende plus doux
Me sorte de la souffrance et des cris
Comment pouvons nous faire mieux,
Pour rendre cette ère, plus sûre pour toi et moi ?
Paroles - Lyrics
Paroles et mots par Album - Words and lyrics From Albums
Textes par Albums
EP "Premiers Horizons" (2015)
Les Chemins du présent
Qu'un Ange passe, qu'un diable enfin, nous abandonne...
en effaçant ses traces, j'entends les rêves qui résonnent...
hauts... comme vous Sire... laissant les meubles et la peau
bien éclatant... de rire
Ce qu'il reste dans l'âme, c'est un goût de perles et de vent
un mélange de charme, pour faire des colliers aux passants
et passant, enfin sur d'autres rives,
au paradis du temps, où il fait bon vivre
Et merci aux meneurs et aux manants...
tout en chacun jouant son rôle de «servant»
dénouant les fils, comblant les vides, les prises au vent
montrant les chemins qui nous mènent au présent (bis)
Riches de nos atouts m'est d'avis qu'il est le moment
de partager cette «ère» en s'inspirant tout autrement
dans un monde, d'humains et de rites
là où les fontaines, s'écoulent moins vites
et de cette «utopie» dont quelques uns, riront sûrement ;
pourrais-je leur demander : «n'ont-ils pas eu les mêmes, enfants ?»
Des rêves, de rondes et de mythes...
transformant les déserts, en mondes magiques
Et Merci, aux montagnes et aux courants
aux mains tendues, aux hémisphères et au printemps
à chaque voix qui nous avait portée devant
montrant les chemins qui nous mènent au présent
Pareil
On est pareil à ce qu'on aime,
on est pareil à ce qu'on croit,
comme un enfant puise la sève,
dans la terre que foulent ses pas …
et le silence... immobile...
souvent oublié sous la danse, qu'on mène entre la peur et nos désirs
battant comme un cœur... anonyme
qui donne le sens à tes voyages et la justesse à tes désirs
Il y a l'art et la manière,
et les barages faits de ce qu'on croit
Si l'on écarte la matière,
quel est ton trésor ici bas ?
Ô... et la rivière, qui nous dirige,
est-elle trouble ou bien d'eau clair, est-elle, abondante ou aride ?
Quelle est la source, qui te guide ?
Qui donne le sens à tes voyages et la richesse à tes désirs...
Et tant que l'on reste dévoué à nos rêves,
les fins du monde tragiques ça n'existe pas
de tous nos conflits on porte la trève
la beauté accordant chacun de nos pas
la bonté raccordant chacun de nos pas...
Nos pas se mêlent sur la même Terre,
nos esprits rêvent sous le même toit...
Si à certains manque l'oxygène,
quel est le «trop plein», d'ici bas ?
Ô et la Lumière... qui attire,
les papillons dans l'éphémère ont tous des minutes à remplir
sur ces rivages, que l'on dessine, et décide...
Seront-ils voilés de mirages ou bien des lieux de partage à bâtir ?
et tant que l'on reste dévoué à ce rêve
Les fins du monde tragiques ça n'existe pas
de tout nos conflits, on porte la trève
la beauté acccordant chacun de nos pas...
La bonté raccordant chacun de nos pas
Et tant que l'on peut partager nos rêves...
et la magie du monde du creux de nos bras
tous les moments de vie comportent leurs fèves...
et les valeurs élevées pour guider nos pas...
Album "Les mémoires du Vent" (2018)
Give you my words
On en a traversé des murs et des hivers
sous le silence des rois posés à contre jour...
ça crée des vivants et des rivières
où le sang ralie les coeurs pour venir inonder vos cours.
offrant nos voix pour les plus faibles,
loin des rythmes et grandes hâtes,
d'où chacun bâtissait sa tour... ;
Pour que tombe l'eau,
Et des trombes d'air,
les prières effaçant les frontières
and I give you my words try to sing in every day
and if I have to fight it makes me feel ok
I give you my words try to sing in every day
if you have no voice I scream it all away... !
Et toi le peuple sous silence qui se consume et loin, dérive
hors de nos vis à vis, mais non sans rêves...
Bayonnés d'armes et d'ignorance
comment briser tes murs denses ?
Quelles sont nos lumières traversant la peau,
faisant miroir ou bien echo à leur fenêtres ?
Et Artisans des soleils levants...
Tu l'es aussi dedans !
and I give you my words try to sing in every day
and if I have to fight it makes me feel ok
I give you my words try to sing in every day
if you have no voice I scream it all away
Sans Abris
Né d'un matin, sans abris
on pense tous, tomber de rien, sur un nid.
Un ciel de mystère,
une terre pour s'accomplir,
ça laisse aux routes une affaire, pour la vie...
Une étendue de mer, qui s'étire...
la puce à l'oreille, m'a dit :
« quand tout se noit, c'est là qu'un éclair luit
comme un hommage à nos fois, endormies... »
L'âme s'en balance
les anges te disent : « reste ici,
le temps donne la patience
à qui veut être fort , et accompli »
mais seuls, sur nos rives de terre
Cétacés, sans abris,
comme un poisson sur la terre
à qui une forêt entière, ne suffit...
Mais ces routes et ces mystères, te sourient...
il ne tient qu'à nous de faire, l'enfer ou paradis
Quelle saison te porte, et quelle passion d'exhorte ?
à ne vivre plus que de soleil et de pluie
L'âme est en carence,
si ta lumière ne la remplit
la Vie n'attend que ton sens
pour donner aux arbres le temps de leurs fruits
mais seul, sur ta rive de terre
pousse enfin ton premier cri
Toi l'enfant de la lumière,
et plus jamais sans abris...
The One I love
We're the same even looking old
sitting on a chair
across the years throught the warmth and cold...
Darling, I still care...
and when I look to the road ahead
our world is still there
we wear desires that we draw
from all the sighs
all the sighs that we share....
we could have stayed many times appart
stiring up the light
but making love with an empty heart
I don't know if we can
I don't know places better than your skin
when mine is all yours, darling...
when every games just seems like silly escapes
you're still the one
you're still the one
I love....(bis) .
and You're still the one I love... (bis)
And looking up what we built around
Darling such a sky
changing seasons as we grow along
catching fruits of time
And if we behave like criminals
hurting sometimes each other
Every wall we have broken down
will turn to land,
will turn to land my love...
and you're still the One I love …
You're still the one I love...
you're still the one I love,
you're still, the man I love...
darling you're still, the man I love...
L'Etranger
Glissée des cieux là, dans la ronde,
solitaire au bord du monde
à l'horizon de nos contours...
Aux racines des plaines,
des mers et des mystères,
d'où les enfants reviennent,
plus sages que leurs pères...
et moi j'habite là, mais la rive est déserte...
ils ont dû trouver mieux, mes frères des quatres vents.
Alors, descendant dans les villes,
cintrées de tours et rocades aux milles feux,
je ne voudrais pas manquer la cible,
je cours aussi bien qu'eux,
dans le chant des sirènes,
qui détrempent les rêves,
des vagues qu'elles entrainent...
mais la course est sans joie, je jette la serviette...
et reprends mon chemin...
Et libre dans ma tête,
les idées dans le vent
dessinant des fenêtres
sur mes rêves d'enfants...
...mais la route est barrée, souillée
de déchets, de décombres...
d'intérêts éparpillés,
de frontières et de tombes...
à tout vouloir garder,
le large nous échappe...
et si on s'élançait ?
Et libre dans nos têtes
les idées dans le vent,
découpant les fenêtres,
sur nos rêves d'enfants...
Et libre dans nos têtes,
l'amour au fil du vent,
traversant les fenêtres,
vers nos rêves
vers nos contes,
vers nos âmes d'enfants...
Tribute to Reyhaneh Jabbari
Dear world, ô dear God, they put a rope around my neck...
didnt meant to hurt, when I Stabbed this man.
I was trying to keep myself, decent and alive
Silently hoping from judges, to be enligthed...
« but you forgot dear Angel, you're in world where men rules
and the fragile deepest hearts, remain misunderstood »
And all my prayer goes to you,
to relieve the sadness and hunger
Trampled and hung women truth...
Ô Mother, Ô Sisters, What then would be of us ?
And all the painfull screams, from the woman of the earth ?
I can give my heart and Lungs away
but does someone would feel and breath out the pain ?
the loneliness between those walls, could be healed by love remain
We are not meant to be alone in this crazy strange dark land...
I pray for innocence to reach you,
blind and misled men !
And all my prayer, goes to you,
to relieve the sickess and hunger ...
Trampled and hung , Men truths...
Tranmpled and hunged, Men truth...
Trampled and hung Women truth...
Trampled and hung Women truth...
Trampled and hung Human.... truth
Song From Love
It's a song from,
just a night we shared,
or may be just about
the end of a nightmare.
Does something begin ?
Or does something end ?
And will this symphony
stay with us to protect...
And did I ask you for,
will you die for... ?
or did you only see me, as nothing,
but a stranger ?
And did I answer you
when you ask me to be,
naked on the floor,
you know, nothing else than I use to be...
and only time knows
we could have stayed appart
when it's all downand all dark
inside those crazy life
but I miss you
in every heaven
you seem the only one
who make my life warmer...
Ô lord, ô lord bring me back to him
or bring back to life...
cause I yearn for this feeling
I only find in his arms...
And did I ask you for..
will you die for ?
or did you only see me, as nothing,
but a stranger ?
And did I answer you
when you ask me to be
naked on the floor,
you know, nothing else than I use to be...
Hommage à Reyhaneh Jabbari (traduction)
Cher monde, cher Dieu, ils ont passé une corde autour de mon cou...
je ne voulais pas faire de mal lorsque j'ai poignardé cet homme
J'essayais simplement de rester décente et en vie
silencieusement espérant que les juges soient « illuminés »
« Mais tu as oublié, cher Ange, que tu vis dans un monde ou se sont les hommes qui font les règles,
et où les cœurs les plus fragiles et profonds, restent incompris... »
et toute mes prières, vont pour vous
pour soulager la tristesse et la colère
de cette vérité des femmes, piétinée et pendue
O mère ; ô mes soeurs, qu'adviendra-t-il de nous ?
Et de tous les cris de douleurs des femmes de la terre ?
Je peux faire don de mon cœur et de mes poumons,
mais est ce que quelqu'un ressentira et expirera la douleur ?
La solitude entre ces murs, pourrait être libérée par quelque reste d'amour...
nous ne sommes pas fait pour être seuls dans cet étrange pays, fou et obscure
Je pris pour que l'innocence puisse vous atteindre,
hommes aveuglés, égarés et sans « Guides »
et toute mes prières, vont pour vous
pour soulager la maladie et la colère
de cette vérité d'hommes, piétinée et pendue
de cette vérité d'hommes, piétinée et pendue
de cette vérité de femmes, piétinée et pendue
de cette vérité de femmes, piétinée et pendue
de cette vérité d'humaine, piétinée et pendue...
The One I Love (traduction)
Nous sommes les mêmes, même si nous paraissons plus vieux
assis sur une chaise
A travers les années, les hauts et les bas (les chauds et froid)
Mon amour, c'est toujours toi qui compte pour moi
et lorsque je regarde la route devant nous
j'y vois toujours notre monde
nous portons des désirs que nous dessinons/créons
à partir de tous les « soupirs »
Tous les soupirs que nous partageons
nous aurions nous éloigner maintes fois
en essayant de « raviver » la lumière ailleurs
mais faire l'amour avec le cœurs vide
ça je ne suis pas sûre que nous puissions....
je ne connais pas d'endroit meilleur que contre ta peau
et la mienne est tout à toi mon amour
quand tous nos petits jeux apparaissent comme de stupides « échappatoires »
c'est toujours toi
c'est toujours toi que j'aime
C'est toujours toi que j'aime....
et c'est toujours toi que j'aime....
et en regardant tout ce que nous avons construit
mon amour, un si grand ciel
changeant les saisons au fur et à fur que nous grandissions avec elles
et en recueillant les fruits du temps
et si nous nous comportions parfois comme des criminels
blessant parfois l'autre
tous les murs que nous avons brisé
Se sont transformés en horizon
se sont transformés en horizon mon amour
et c'est toujours toi que j'aime...
L'Amour Errant
.Le temps se perd évidemment,
allant de cœurs en cœurs on apprend les recettes.
Se découvrir lentement, ou...
s'élancer fleurs et âmes au fil de nos conquêtes
Mais d'ici, le vent...
pousse tes charmes à mes oreilles,
et tes mystères à mes courrants...
troublent ma sève
j'en dis rien à mon âme,
qui sait déjà et me murmure : « reste la même... »
Pas de vainqueurs, ni résistants....
à ces courants... d'amour Errant
Vagabonds et errants...
ces étranges sentiments...
Alors t'écrire évidement...
mes voiles prennent le vent et m'entrainent dans l'air
odyssée d'un corps qui attend,
ces gestes lents où se faufilent les mains entières...
et que d'ici le vent... souffle ces mots à tes oreilles
étrange passion dans tes courants... troublant tes rêves
N'en dis rien à ton âme,
elle sait déjà et te murmurre : « reste le même... »
pas de vainqueurs, ni resistants....
à ces courants... d'amour...Errant
Malhabiles et Errantes... ces passions qui n'ont de cesse...
et la soif d'une caresse...
Et puis se taire évidement...
les roses, même de ne pas être cueillies, s'abîment...
autant poser nos peurs aux vents,
laissons la grâce prendre nos gestes,
et que l'amour fasse le reste...
Dans un soupçon de vent... tout ces soupirs à nos oreilles
Laissons cet amour d'un instant, mêler nos sèves
et ce chant de nos âmes,
nous dit déjà : « au mieux de vous, restez les mêmes »
Pour te murmurer doucement...
Amour errant... s'il te plait...Reste...
Song from Love (Traduction)
Bientôt!
Soon !
On My Way
I've been running through the dark
looking for an highter ground
with a broken heart inside
singing to rekindle the flame
I felt alone as I felt sad
I saw my parents fall away
in a strange world mooving fast
leaving his children on the way
on the way...
And talking to sky, to find my place
I took my voice and my guitare, My pain and pen
and sing this song, sing this way
a joyfull song with a magic tune eveyone could sing
I'm on my way, even on my own,
I'm on my way, my way back home
I'm on my way, back to my soul
and I know this way I will neer feel alone
I walk around upon this world
a travel blues man in my soul
My eyes as witnesses on this earth
I see full lands and empty zones
Some said « work hard and make your home,
the money back will make you strong »
But feeding race is not my job
feel something better could be done (bis)
and whistling to sky, to find my place
I took my voice and my guitare My pain and pen
and sing this song, and sing this way
a joyfull song with a magic tune eveyone could sing
I'm on my way, even on my own,
I'm on my way, my way back home
I'm on my way, back to my soul
and I know this way I will neer feel alone
Des mots pour elle
Arrivée un peu par hasard,
c'est comme si c'était hier,
juste entre moi et un père.
Entre son « rouge » et mon « noir »
toi, tu allumais la lumières...
qu' il nous manquait parfois...
Un peu jeune et un peu sourde
aux connaissances de mère...
Mais les portes que tu entre-ouvres
laisse pénétrer les repères...
et par, tes attitudes saines
tu dessines... les jardins d'une reine !
Où les pommes, par les lois, défendues
pourtant donnent ...ces beaux fruits inatendues...
mais que je ne sache pas semble le cadet de tes soucis
toi tu te poses au creux de mes bras en laissant briller tes rubis
et que tu ne te dommages pas est lui l'aîné de mes soucis
pour ça je laisse l'adresse de tes pas, au bonheur et aux anges...
Et aux anges aussi
Et les bruits et les misères,
de ce bas monde en coulisse
(quand on a à nous la scène)
nous ramènent les pieds sur terre,
afin qu'à la tâche on se glisse...
aidant chacun dans sa « veine »
on est les chanceux du monde, regarde toi et... remercie
chaque fleurs, chaque fontaines...
et sous tes mèches, dans tes grands yeux,
il y a un double des clés du paradis...
et puis ta main dans la mienne...
et par, tes attitudes saines
tu dessines... les jardins d'une reine !
Où les pommes par les loies défendues,
pourtant donnent ces beaux fruits inatendus... !
mais que je ne sache pas semble le cadet de tes soucis
toi tu te poses au creux de mes bras en laissant briller tes rubis
et que tu ne te dommages pas est lui l'aîné de mes soucis
pour ça je laisse l'adresse de tes pas, au bonheur et aux anges...
Et aux anges aussi...
La ballade des princesses
Tu peux rire et chanter à tue-tête
tu peux même y laisser ton mouchoir
faire un nœud ou la corde s'arrête
laissant le vent aller, s'engouffrer dans le placard
Tu t'es construite si précieuse et honnête
simple et naïve, tu dis « t'être fait avoir »
par les bons princes victimes de ta quête
as-tu donc pris le temps de contempler ton miroir ?
...c'est qu'il est flou ton château princesse,
s'écroulant sous la tour de ton désespoir...
prends ton devoir de « sage maîtresse »
allant sur les chemins des villages d'en bas (bis)
Et s'il te prend l'envie de changer de fête
et s'il te prend l'envie de changer de bras
tu n'es coupable que d'être jeunette,
laisse donc la pluie laver les traces de bagues à tes doigts... !
Tu peux troquer tes parures de princesses
pour trouver le diamant qui réside en toi
offrant « tes vers » aux plus sages et honnêtes
en repassant ta robe, debout, nue sur le comptoir (bis)
...c'est qu'elle était loin de sourire ta fenêtre
ta meurtrière en-tâchée de combat
sous les violons romantiques de ta quête
il est le rythme sacré des musiciens d'en bas (bis)
mmmmh...quel étrange rêve...
pour quel étrange roi ?
Tant de conflits, de Gralls, de cours et de peine
pour dénicher tout ce qui est déjà là
tantôt vêtue de chaînes
tantôt vêtue de nos robes de « soi »
ce pourrait-il qu'enfin j'y laisse ma traîne,
Et que mon soulier de verre revienne en sabot de bois (bis)
Ô Cupidon, tu peux lancer ta flèche
je t'invite même à vider ton carquois !
Car quoi je peux même te laisser ma fenêtre
pour que tu lances des fleurs à nous autres d'en bas (bis)
La Notice Antique
Ô Dis papa, ça prend combien de temps,
de rencontrer l'espoir ?
Quand la foule s'habille « d'apparement »
couvrant les cris d'un monde qui s'égare...
Ô Dis maman ça prend combien d'instants,
d'éteindre le noir ?
D'un dehors qui tue les voix d'enfants
et que les mains ne semblent plus y voir...
Ô dis ma sœur est ce qu'on étreint le ciel ou,
est ce qu'on le donne à voir?
Quand la pluie fait de l'ombre au soleil
et nos racines s'emmêlent sans y boire
pourtant, sur la notice antique c'était,
demandé de s'aimer
d'être bon, et puissant, mais pas...
dans la rivalité
Les sentiments s'agitent ,à force de
ne pas être écoutés...
Sous nos élans lyriques, dort la vérité...
et nos talents uniques d'où tout est à donner
Ô dis mon frère d'où se lève le soleil ?
Et, Est ce qu'il brûle en Moi ?
j'aimerais les vents me soufflant à l'oreille
l'orientation qui serait plus qu'un choix
et nos amours, cachés dans l'éternel
me laisserais-tu te voir ?
pour partager nos routes et nos sommeils
où le plaisir s'accorde au devoir...
tel que, sur la notice antique où c'était
demandé de s'aimer
d'être beau , et charmant, mais pas
tout seul de son côté...
Les paradis s'effritent à force de,
ne pas être habités...
sous nos silences le rythme est prêt à porter...
et de nos talents uniques tout est à donner
Et de nos talents unis, d'où tout est à donner...
Tsunami
Qu'il semble loin le pays où les hommes sont unis dedans,
Regardant la tragédie ainsi pensait l'enfant...
la maison écroulée, les champs, les arbres, ravagés...
devant la montagne d'eau que valent nos trophés ?
Il est des survivant, il est des âmes envolés,
qu'il soit minuit ou bien votre heure, ici le temps s'est arrêté...
Et on ne travaille plus ici le partage est de rigueur,
mais que pourrait-on bien faire de plus, après tant de douleur ?
Ne pleure plus mon ami, Ô ne pleure plus mon enfant,
laisse au diable la tragédie et marche dans le vent...
Existe-t-il le monde où les hommes sont égaux dedans ?
dans un autre pays, ainsi pensait l'enfant
Ma mère part à mendier, mon père, au champs, à travailler...
Devant vos montagnes de biens, mais, que valent mes pensées ?
Il en est de plus malchanceux, certes, il en est de plus affamés...
Malades, ou sans abris, et laissé de côté ;
mais moi, dans tout cela, j'en ai des rêves, ô plein le cœur
et un pays trop exiguë pour mettre tant de couleurs...
Ne pleure plus mon ami, Ô ne pleure plus mon enfant,
laisse au diable la tragédie et marche dans le vent...
Ne pleure plus mon ami, Ô ne pleure plus mon enfant
fais de tes rêves ton pays, et marche dans le vent...
Mais où est-il le pays où l'on peux vivre dans le vent... ?
effaçant sans un cri tous nos ressentiments ?
d'où que l'on soit, où que l'on vive, on frappe la porte au firmament
à la recherche de ces paradis où chacun est heureux... maintenant...
Ne pleure plus mon ami, Ô ne pleure plus mon enfant,
laisse au diable la tragédie et marche dans le vent...
Ne pleure plus mon ami, Ô ne pleure plus mon enfant
fais de tes rêves ton pays, et marche dans le vent...
Ne pleure plus mon ami Ô ne pleure plus mon enfant,
laisse en toi couler la vie, ton pays... il est dedans...
L'Aube...
Quand l'aube se pose enfin, que délibèrent
nos gestes assassins et l'éphémère
contemplant ce décor s'effaçant docile
d'aussi souvent l'user s'effrite l'inutile...
On avait parfois cacher nos faiblesses,
dans des moments de puissance, d'alégresse
des « faux » et des défauts aussi grands que Soi,
mais jamais ces démons ne gagnent ici bas...
ouh...mon rêves de sommeil?
un coin de soleil à l'abris du vent
ouh.... souffle à nos oreilles
des mots sucrés d'amour par tous les temps
des mots sacrés d'amour à tous les temps...
Ces forces qui nous pressent,
poussés sous les abris ou les averses,
des tests et des falaises aussi hautes que « Soi »,
peut être pour vérifier qu'on était dans nos pas.
Ô... ces rires et faux sourires,
les « quand dira-t-on » par dessus les toits
la violences qu'on traîne
tes « je t'aime, mais je te quitte ma reine »
hey... ces oublies dans le temps
...Les injures et fissures dans le vent
la promesse d'un paradis de soie...
mais si c'est aussi simple pourquoi tout ça ?(bis)
Ouh... nos rêves de soleil...
ces coins de lumières à l'abris du temps
où, se glissent à nos oreilles,
des mots sucrés d'amour à tous les temps
des mots sacrés d'amour par tout les temps
ouh..., mais trêve de sommeil...
les deux pieds sur la terre par tous les temps
ouh... glissant à toutes oreilles
nos mots sucrés d'amour à tous les temps... à tous les temps
...
Beautiful
Bizarre, vous avez dit bizarre ?
quand le vent souffle à nos frontières et qu'il m'écarte de mon frère,
ho, bizzard, vous avez dis Hasard,
lorsque les gens ne votent pas ou qu'ils votent à l'envers
mais l'histoire, ô que dit l'histoire ?
Des rouges ou noirs blancs jaunes ou verts,
autant d'habitants de la terre... et de l'espoir, que l'on arrête pas,
La nature ne s'épargne pas de toutes ses variétés...
des siècles de conflits ou des âmes s'entêtent
différentes de peaux, même couleurs de sang
quelle erreur que se croire supérieur nous élève
c'est ajouter nos noms à ce vieux testament...
depuis le temps que la Terre nous avise,
depuis le temps qu'on avait le temps
d'étendre nos mains vers les plus fragiles
s'élever ensemble est bien plus grand
Tribu d'humain d'une même Terre
aussi beaux les uns... que les êtres
dear people, you 're beautifull...
You 're beautifull in the silence
You're beautifull in the light
you're beautifull whith your difference
you're beautifullwhen you smile
you're beautifull, in the darkness
you're beautifull when you shine
you're beautifull, where ever you come from
and who ever you are...
you don't know what you are...
you dont know what you wear,
you dont know who you are
the power that you wear...
the wisdom and love that you wear...
Ces rivières de prénoms d'où noss racines se hissent
des routes vers le firmament...
Pero la noche se cae... (mais ici la nuit tombe
de tantas ventanas presas de tant de fenêtres « prisonnières »)
nos somos du dia noïte / nous sommes du jour, la nuit
dei pezzi di stelle spesso dimenticate... :des morceaux d'étoiles souvent oubliés
velche Mechanik uns anzünd un könnte ? Quel mécanique pourrait nous rallumer ?
To Sangana po to kéndé libosso / nous réunir pour mieux briller, ensemble...
El Bachali aïllelordé cou beïlanefs /Tribu d'humain d'une même Terre (arabe)
kulam yafim keumo ze la fe /aussi beaux les uns que les autres (hebreu)
dear people, you 're beautifull...
You 're beautifull in the silence
You're beautifull in the light
you're beautifull whith your difference
you're beautifullwhen you smile
you're beautifull even in the darkness
you're beautifull when you shine
you're beautifull where ever you come from
and who ever you are...
you don't know what you are...
you dont know what you wear,
you dont know who you are
the power that you wear...
the wisdom and love that you wear...
Mon amour se lève
Debout sur nos chemins de pierres,
seulement nourri de vérité,
où les sommets font des rivières,
même si le temps vient à changer
c'est tout pareil et c'est étrange
ô mon ami, mon amour se lève...
et mon amour s'éveille...
et sans que ça dérange les retours du passé...
où les aubaines, d'ébène
deviennent les clés...
que nos couleurs se mélangent
ô mon ami, ô mon aimé,
sous les lumières,
les paillettes éphémères,ô ne pourront...
nous changer...
Ouh, ouhouh...
Elles nous disent « vient » ces étincelles
qu'on a le monde entier...
comme un écrin dans un repère
mais qui dénonce la vérité ?
La vérité...
Afin que ça arrange les détours du passé,
d'où les lumières, blanches...
annoncent l'été
que nos couleurs se mélangent
ô mon avenir, ô mon ainé
sous les lumières
les paillettes éphémère ô sauront bien...
nous guider...
sans nous changer...
et mon amour se lève...
mon amour s'éveille...
ô mon amour....
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Fanny Morales Courtet
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